mercredi 27 février 2008

T’es pas ma mère !

Exceptionnellement nous gardons le titre original car «T'es pas ma mère» est la phrase qu'une belle mère risque d'entendre un jour ou l'autre. L'article est basé sur les travaux de Julie Gosselin, qui consacre ses travaux de doctorat sous la direction d'Hélène David à désigner les facteurs facilitant l'intégration des belles-mères au sein de familles recomposées où vivent des adolescents.

Entre les belles-mères et les beaux-enfants, la paix reste précaire. À l'adolescence, les relations entre la belle-mère et les enfants du père risquent de devenir drôlement compliquées. Même si la nouvelle conjointe du père a su établir une complicité avec son beau-fils ou sa belle-fille.

L'ambigüité du rôle de la belle-mère

La difficulté liée à l'intégration de la belle-mère dans la famille recomposée, serait due à l'ambigüité de son rôle et des frontières au sein de la famille. L'adolescence augmenterait en outre le risque de situations conflictuelles.

Bouc émissaire

Pour ajouter à la difficulté, la belle-mère incarne facilement aux yeux de l'enfant la «mauvaise mère». «C'est le bouc émissaire idéal», souligne Julie Gosselin. Lorsque des tensions surgissent au sein de la famille recomposée, les belles-mères se sentent rejetées, éprouvent un sentiment de détresse et vivent de l'insatisfaction conjugale.

L'une des principales causes de ce désarroi serait associée à l'attitude du compagnon, qui a tendance à ne pas reconnaitre pleinement le rôle de la belle-mère et à nier le caractère stressant de la situation.

Pour surmonter l'hostilité de l'enfant et créer une relation de complicité, la belle-mère a besoin du père, selon Julie Gosselin. Il apparait donc important que le père prenne sa place d'homme et de père. «Il est en effet le seul qui puisse conférer une légitimité à la belle-mère et définir son rôle auprès des enfants», conclut-elle.

Nous vous invitons à lire l'article original et à nous faire part de vos commentaires :

http://www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20060918/Une.html

jeudi 21 février 2008

De la poutine au boulet !

Sur le thème des résolutions du jour de l'an voici un site qui traite de tout sauf des résolutions du jour de l'an. Vous comprendrez en lisant l'introduction. On y parle de cuisine, de poutine et de boulet et de voyage pour être plus précis.

Je vous le propose comme une curiosité qui mérite d'être lu jusqu'à la fin !

Bonne lecture !

http://damdam.typepad.com/_au_fil_de_mes_journes_/gastronomie/index.html

dimanche 17 février 2008

Parents : faites-vous trop de sacrifices ?


Le titre original : Les sacrifices qu'une maman ne devrait jamais faire par Line Lebrun


L'enfant doit apprendre à s'éloigner de sa mère.», affirme Benoît Clotteau, psychologue à l'Institut de formation d'aide communautaire à l'enfant et à la famille.


• Déculpabilisez-vous. Un peu d'autonomie fait du bien aux enfants.


• Identifiez les urgences et ce qui peut attendre.


• Refaites le plein d'énergie: prévoyez des moments pour vous divertir.


Parfois ce sont des petits écarts qui font juste du bien, autant aux enfants qu'au père et à la mère.


• Par exemple, permettez à votre grande de faire son lunch toute seule; pour le dessert, emmenez votre famille à la crémerie; laissez vos enfants dépasser l'heure du dodo lors d'occasions spéciales, etc.




Pour votre vie de couple


Quoi faire !


• Prévoyez un 15 minutes «papa-maman» après le souper.


• Osez faire des folies: laissez à votre homme un mot gentil sur le frigo, offrez-lui une rose, etc. Mettez de l'imprévu dans votre quotidien.


• Obligez-vous à prévoir des activités ensemble.


• Planifiez un week-end d'amoureux ou passez une soirée au motel.


Comme toujours, nous vous invitons à lire l'article d'Espaceparents.ca et de nous faire part de vos commentaires :


http://espaceparents.canoe.ca/sante/mieux-etre/2007/03/18/3781664-fa.html

vendredi 15 février 2008

Un Soleil dans votre manteau d’hiver !

L'hiver est arrivé pour bon nombre de nos lecteurs, un simple rappel des moyens que l'on doit prendre pour s'assurer que tous les membres de votre famille sont toujours au chaud. Ils pourront ainsi profiter de l'hiver malgré la froid et la neige. Voici donc quelques conseils que nous suggère la Mountain Equipment Coop ou MEC !

Veillez à ce que tout le monde ait chaud de la tête aux pieds en adoptant les systèmes multicouche.

Premièrement : On met directement sur le corps une couche de base constituée de sous-vêtements longs en fibre synthétique qui (pas de coton) garde le corps au chaud et chasse l'humidité.

Deuxièmement : Une couche intermédiaire : chandail en laine de mérinos ou en laine polaire, ainsi que des pantalons

Troisièmement : Une troisième couche, un vêtement imper-respirant en Gore-Tex pour protéger contre les éléments.

Une tuque pour garder la tête au chaud s'il s'amuse simplement dans la neige

Des mitaines imperméables (pas de gants) et des chaussettes chaudes

Les avantages de suivre ces recommandations sont nombreux :

Vous demeurez au sec, la couche de base éloigne l'humidité loin du corps, les couches suivantes transmettent l'humidité vers l'extérieurs.

Vous n'avez pas froid car malgré le fait que vous fassiez une activité physique, dès que vous arrêterez, vous risquez ne risquez pas d'avoir froid car vos vêtements seront restés sec éliminant les pertes de chaleurs de chaleur importantes.

Bien que cela représente un investissement pour commencer à s'équiper, vous pouvez utiliser ces mêmes vêtements le restant de l'année lorsqu'il pleut ou que les soirées commencent à être plus fraîches. Le haut de sous-vêtement peut être utilisé pour le jogging ou même pour la plongée en apnée dans les eaux un peu fraîches.

Pour plus d'information :

http://www.mec.ca/Main/content_text.jsp?FOLDER%3C%3Efolder_id=2534374302881834&CONTENT%3C%3Ecnt_id=10134198674067023&bmUID=1203051681664&bmLocale=fr_CA


 

NB MEC publie un lexique fort bien fait des termes concernant l'équipement de plein-air.

dimanche 10 février 2008

Progressivement devenir autonome

Apprentissage de l'autonomie : jamais sans mes parents

Publié le : 30.03.2002 16h35 e-Matin

Un article basé sur un livre décrivant qu'il faut donner à nos enfants ou adolescent une certaine autonomie à fin qu'ils découvrent le monde. Le tout devant se faire cependant avec un certain encadrement. L'article souligne que même à l'adolescence, un sentiment de connivence affective est nécessaire.

Si l'autonomie est bien «au cœur de l'éducation», son acquisition précoce ne doit pas se faire cependant «au détriment de la sécurité affective indispensable à l'enfant au début de sa vie», prévient la psychanalyste Etty Buzyn. Il ne peut cependant y parvenir sans le soutien chaleureux de l'adulte dont il dépend encore …

Ce qui importe en bout de ligne, est le sentiment que ses parents ont su lui donner que le monde qui l'entoure, «loin de lui être hostile, est un monde dans lequel il peut avoir confiance» qui alimente cette dynamique . Même lorsqu'il s'agit de passer son permis de conduire, l'enfant - même devenu grand - a besoin pour progresser de ce sentiment de connivence affective qui lui apporte la sécurité nécessaire.

Exiger d'un enfant dès l'âge de 7 ou 8 ans, à se débrouiller seuls pour se rendre à l'école, se laver, s'habiller, se coucher … peuvent causer des troubles scolaires, relationnels ou de comportement, causés par le sentiment de désintérêt et même d'abandon qu'avait fait naître chez eux cette situation.

Ainsi, «la majorité des enfants, qu'ils soient en primaire ou au collège, ont un besoin patent d'être soutenus pour un adulte pour organiser leur temps. Et lorsque l'enfant a acquis une certaine aisance, il a encore grand besoin, sinon d'être encadré, du moins de pouvoir compter sur l'intérêt que suscitent ses apprentissages chez ses parents». Et lorsqu'ils ne l'obtiennent pas, beaucoup se désinvestissent alors de leur scolarité .

Il faut trouver le point d'équilibre …

Voici la référence, bonne lecture !

Me débrouiller, oui, mais pas tout seul ! par Etty Buzyn, éditions Albin Michel, collection Questions de Parents.

jeudi 7 février 2008

Un gros Câlin ?

Nous abordons un sujet très chaleureux, les Câlins. Pour couronner le tout c'est pour une bonne œuvre, la fondation pour l'Hôpital pour enfants Sainte-Justine. Sans plus tarder une citation du site que vous retrouverez à la fin de ce message.

Le livre «Embrasser la vie» de Martin Neufeld, alias Monsieur Câlin.

Monsieur Martin Neufeld, aussi connu sous le nom de Monsieur Câlin, lance une nouvelle édition de son livre «Embrasser la vie – Un guide pratique sur l'art de câliner» en s'associant au Mois des câlins de Sainte-Justine.

Ainsi, du 29 janvier au 29 février (ou jusqu'à épuisement des stocks), il remettra 2$ par livre vendu à la Fondation de l'Hôpital Sainte-Justine. Récipiendaire du prix d'excellence pour le livre le plus inspirant de l'année de l'Independant Publisher Book Award et du Nautilus Book Award, ce livre est disponible dans les librairies et les grandes surfaces.


Pour en savoir plus, un confrère Bloggeur Daniel French nous offre les 5 principes du câlinage: (http://danielfrench.blogspot.com/2006/12/monsieur-clin.html)

-Câliner avec respect

-Câliner sans condition

-Câliner avec cœur

-Câliner le moment

-Câliner avec gratitude


Pour plus d'information consultez le site ici-bas … … et faites-nous part de vos commentaires :

http://www.monsieurcalin.com/livre.html

lundi 4 février 2008

Un tsunami ? NON l’adolescence

Une tempête nommée adolescence

par Renée Laurin

Un ami m'a appelée en panique la semaine dernière. Il venait de découvrir que sa fille de treize ans n'était pas l'ange qu'il croyait avoir mis au monde. Boisson, drogue, tout y est passé. La soirée se serait même terminée par une balade en voiture où s'entassaient dix jeunes adolescents avec un chauffeur sans permis.

Il a été foudroyé.

On ne peut pas tout contrôler à cet âge, c'est bien évident. Il faut bâtir tranquillement la confiance mutuelle.

Jusqu'à la majorité, j'ai encore le droit de savoir où va mon enfant, avec qui il est et quand il va rentrer. Je me suis toujours donné le droit de vérifier si des parents étaient présents en appelant ou en allant conduire ma fille pour vérifier sur place.

À lire

Besoins, défis et aspirations des adolescents, Duclos, Laporte, Ross, Éditions Héritage.

Cet ouvrage suggère des moyens concrets et pratiques pour accompagner l'adolescent dans ses différentes expériences. Il propose aussi aux adultes et aux adolescents des questionnaires d'auto-évaluation et des exercices variés.

Ados: mode d'emploi, Michel Delagrave, Les Éditions du CHU Sainte-Justine.

Un petit livre fort instructif et rassurant pour aider les parents à accompagner et aimer leurs adolescents tout en les encadrant.

Faites-nous part de vos commentaires !

http://espaceparents.canoe.ca/sante/mieux-etre/2008/02/01/4807960-jdm.html

samedi 2 février 2008

Un nouveau sport d'hiver: la raquette moderne

Depuis bientôt deux ans je pratique un nouveau sport qui n’est apparu que depuis quelques années, la raquette moderne à défaut d’un meilleur nom. J’ai pratiqué la marche pendant plusieurs années avec des raquettes traditionnelles appréciant ainsi le coté sauvage et aventurier de la marche en forêt. Les raquettes permettent en effet de se promener au gré des découvertes en suivant les ruisseaux, le contour des montagnes, les traces des différents animaux de la forêt. On y retrouve une paix et parfois une solitude que l’on peut difficilement retrouver dans notre vie de tous les jours.
Cependant, bien que les raquettes traditionnelles faites de peau et des de bois nous permettent de pratiquer la marche hors des chemins battus, ce type de raquette limite le genre de terrain qui peut être parcouru. En effet, les raquettes traditionnelles ne permettent pas de monter de fortes pentes car n’étant pourvu d’aucun crampon ou dent pour fournir une meilleure adhésion elles ont tendance à glisser sur la neige ou la glace causant éventuellement un chute. Les raquettes modernes possèdent une série de dents fixée à une plaque attachée sous la semelle de la botte du raquetteur permettant ainsi de d’assurer une bonne prise en montant ou descendant une pente abrupte. La combinaison de dents et crampons permet ainsi de non seulement de marcher en forêt en contemplant les sommets des montagnes, elle permet de monter et de descendre les collines et montagnes directement sans être obliger de faire les virages en lacet nécessaire avec les raquettes traditionnelle. Autre avantage, les fixations des nouvelles raquettes sont plus pratiques puisqu’elles permettent d’utiliser n’importe qu’elle sorte de botte un tant soit peu rigide. Elles sont aussi munies d’attaches semblables à celles que l’on retrouve sur les bottes de ski alpin ou les planches à neiges. Adieu les fixations de cuir qui le l’on devait resserrer tout au long de la ballade. Désormais, nous pouvons laisser à la maison nos mocassins car leurs semelles flexibles ne sont plus nécessaires puisque la toile synthétique remplaçant la babiche des raquettes traditionnelles est beaucoup plus solide et moins sensible à l’humidité. Ainsi ces nouvelles raquettes acceptent toutes les sortes de bottes de la botte doublée de feutre jusqu’à la botte rigide de cuir de randonnée pédestre.
Dans l’éventualité d’une perte d’équilibre, des bâtons de marche peuvent vous venir en aide en vous permettant de vous retenir dans les pentes ou de vous relever en cas de chute. Ressemblant à de simples bâtons de ski, ils possèdent à une extrémité un pic et un panier empêchant ceux- ci d’enfoncer dans la neige profonde. Cela transforme la marche en raquette en une forme de Marche Nordique mais sur fond de neige. Vous pourrez prendre ces mêmes bâtons pour vos randonnée une fois la neige disparue.
Je vous invite à nous faire part de votre expérience hivernale et bonne saison !

Bienvenue !

Bienvenue  !